mardi 5 octobre 2010

so long

En attendant la nuit,
je repasse dans ma mémoire
toutes ces villes - départ et destination,
que j'arpentai en mouvements pendulaires,
essentiellement solitaire.

Il (y) pleut un peu partout.
Il (y) fait froid ou chaud ou pas.
Mes pas perdus (y) résonnent moins
et j'(y) ai peu d'amis maintenant.

D'aucuns sont morts d'autres pas
mais c'est tout comme. Ma fidélité
n'était pas exemplaire. J'ai la dépendance
dilettante et le libertinage du sentiment...

Je vis en mode "pause intermittente".
Les nuits d'hôtel se succèdent aussi mornes
que les jours truffés de temps morts.
On appelle ça une existence dilatoire.

Je m'en fous.

C'est mon ersatz d'éternité.

3 commentaires:

Jose Ramon Santana Vazquez a dit…

...traigo
sangre
de
la
tarde
herida
en
la
mano
y
una
vela
de
mi
corazón
para
invitarte
y
darte
este
alma
que
viene
para
compartir
contigo
tu
bello
blog
con
un
ramillete
de
oro
y
claveles
dentro...


desde mis
HORAS ROTAS
Y AULA DE PAZ


TE SIGO TU BLOG




CON saludos de la luna al
reflejarse en el mar de la
poesía...


AFECTUOSAMENTE
LUCILIA

ESPERO SEAN DE VUESTRO AGRADO EL POST POETIZADO DE ENEMIGO A LAS PUERTAS, CACHORRO, FANTASMA DE LA OPERA, BLADE RUUNER Y CHOCOLATE.

José
Ramón...

ma grande folle de soeur a dit…

José Ramon, és de mi agrado este post poetizado y la visita de todos estos personajes que parece siguen mi blog :) ahora te visitaré yo. un abrazo

myra a dit…

como sempre, escolhes maravilhas de poemas!
beijos