samedi 10 juillet 2010

Et

tu (respires) en moi et je (coule) en toi
et, depuis, je n'ai plus qu'une seule (en) vie
et ma poésie devient inspiration et oraison
et profession de foi et chanson
à l'issue de ta bouche
et de tes mains et de tes reins
et de mes bras et de mes seins
et ma poésie devient l'oraison d'un ermite en passion
lorsque tu prends place dans mes draps

et à la fin

je (respire) en toi et tu (coules) en moi
à l'insu et sans détour encore une fois...

3 commentaires:

myra a dit…

meme avec une pression trop basse, qui me fatigue terriblement je ne puis pas cesser de voir les super belles paroles que tu écris!!!! belles, belles:)))
je t'adore
bises

ma grande folle de soeur a dit…

merci Myra pour ton enthousiasme toujours si entraînant! Je t'adore aussi et remets-toi vite :) bises

myra a dit…

bises pour ton dimanche...que moi je déteste:) cela va un peu mieux:)