samedi 1 mai 2010

vent

le vent s'est rabattu sur ce qu'il n'y avait plus
le temps qui passe les volets à battants
la poussière et le maudit vent le vent le vent
et ça sentait la violette et le néant...

2 commentaires:

myra a dit…

le vent. je le détèste, c'est mon grand ennemi....mais tes paroles sont belles!
bisous

ma grande folle de soeur a dit…

oui le vent est notre ennemi parfois.. il nous porte et nous portera :) bises