Traduits du japonais par Jean Cholley /éditions Philippe Picquier
L'intérieur des cuisses
comme écorché par des ronces,
ardeur incensée
A Dôkyô,
Nous trépassons, trépassons!
dit-elle dans l'extase
Dès qu'elle se retrousse
le capitaine du navire
commence à ramer
Ces poèmes sont retirés de divers recueils ou études publiés au Japon. Les deux principaux sont:
Le Tonneau de saule, recueil de senryû allant de 1765 à 1838, en cent soixante-sept volumes.
La Fleur du Bout, recueil de senryû érotiques publié en quatre volumes entre 1776 et 1801.
2 commentaires:
Lu:
Os hairóticos são meios iconoclastas mas também um campo novo a descobrir. Gostei destes mas agora é a tua vez de contribuíres.
Um abraço,
David The Elder.
é jà a seguir ... lol
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