elle ne porte pas de nom de fleur
elle ne connaît point de peintre
pour honorer la palette de son corps
et tremper l'orteil dans la couleur
elle se montre crue au seul poète
qui exalte sa nudité bandante
à celui qui entre ses cuisses
a érigé le donjon où il fait de constantes haltes
pour festoyer et admirer cette brèche de bonheur
et entre les cuisses de sa muse
à l'entrée de son unique et savoureuse volupté -
un con fleuri et embaumé, prêt à chevaucher
le poète joutant et caressant sans forcener
se sacre impérieusement chevalier
2 commentaires:
ce que tu écris bien!!!!!
bises
que tu me lis bien Myra ;)) bises à toi
Enregistrer un commentaire