jeudi 3 juin 2010

Cunnus

"Un arbre n'est beau, une montagne, un bouquet, un paysage, que s'il s'inscrit dans une certaine figure géométrique, de préférence un triangle, présentant des proportions si belles qu'elles détruisent la contingence. C'est le passage qui s'inscrit dans l'éternel."

in Le poète et le Shamisen, P. Claudel

1 commentaire:

myra a dit…

oh!oui...Paul Claudel a bien compris...
bises