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delícias
ensejos
prazeres
volúpias
anseios
à flor da pele
explosão dos sentidos
já sem fôlego
à flor da pele
inerência inevitável
misturar o meu calor
ao teu corpo
e perder-me na força
dos teus braços
o troféu.
vendredi 23 mars 2007
samedi 17 mars 2007
Petit poet aime cent "a", sept fois
en corps en Oh! Mage à G. Perec
(pour son roman Les revenentes)
C'est dur décrire
cent sept chose rubiconde
qui porte le rond prohibé.
cent sept chose rubiconde
qui porte le rond prohibé.
Cette lettre rudiconde, jouflue,
obèse et sensuelle,
presqu'essentielle!
obèse et sensuelle,
presqu'essentielle!
Jeu confirme. C'est un défi..
Ludique. Eclectique.
Insolite. Stoïque. Drolique.
Insolite. Stoïque. Drolique.
Merci! Les lignes sont complètes!
Et, tout d'un cou, mon stylo se rebelle,
s'interpelle, se pose.
s'interpelle, se pose.
Bien... On n'en souffle donc plus mot!
Motus et bouche cousue.
Sorriso branco,
adorno dos teus lábios
púrpura.
Visions somnolentes,
amas d'illusions branquebalantes -
Frissonnement.
Arbres en fleurs
Trottoirs en sueur
Nuages en pleurs
La rue
suinte de tes pas.
La nuit blanchit.
Ciel gris.
Mais les bourgeons du chêne pointent
Obstinément!
Un certain vague à l'âme -
les oiseaux vagabondent, eux,
indifférents.
Le tonnerre gronde.
Un courroux divin
obscurci l'Azur.
adorno dos teus lábios
púrpura.
Visions somnolentes,
amas d'illusions branquebalantes -
Frissonnement.
Arbres en fleurs
Trottoirs en sueur
Nuages en pleurs
La rue
suinte de tes pas.
La nuit blanchit.
Ciel gris.
Mais les bourgeons du chêne pointent
Obstinément!
Un certain vague à l'âme -
les oiseaux vagabondent, eux,
indifférents.
Le tonnerre gronde.
Un courroux divin
obscurci l'Azur.
jeudi 15 mars 2007
La Voie -
sentier à suivre
contre la barbarie de notre monde.
Ma voix d'enfant
tout juste perceptible.
Murs épais.
Mon désir de femme -
assouvi entre tes draps,
et tes bras.
Décision -
volition sans cesse ajournée.
Tes yeux profonds.
Ta voix -
sentier à suivre
chemin quelque peu déviant.
Nuit froide -
le printemps enjambe
l'hiver
sentier à suivre
contre la barbarie de notre monde.
Ma voix d'enfant
tout juste perceptible.
Murs épais.
Mon désir de femme -
assouvi entre tes draps,
et tes bras.
Décision -
volition sans cesse ajournée.
Tes yeux profonds.
Ta voix -
sentier à suivre
chemin quelque peu déviant.
Nuit froide -
le printemps enjambe
l'hiver
mardi 13 mars 2007
Ao teu lado -
quero viver o presente
e saborear.
Afagar o teu rosto
num instante fugaz,
mas eterno.
Acariciar as tuas mãos,
os teus olhos
os teus cabelos
e a tua pele
Para esta realidade de amar
se tornar hábito, instinto, luz
e sorriso.
E se grudar, tão intensamente,
à pele da nossa solitária existência!
quero viver o presente
e saborear.
Afagar o teu rosto
num instante fugaz,
mas eterno.
Acariciar as tuas mãos,
os teus olhos
os teus cabelos
e a tua pele
Para esta realidade de amar
se tornar hábito, instinto, luz
e sorriso.
E se grudar, tão intensamente,
à pele da nossa solitária existência!
lundi 12 mars 2007
dimanche 11 mars 2007
ma douce amie -
son coeur une prison
aux barreaux insoupçonnés
deux merles courtisans
posés sur le rebord du balcon
prenant la pluie
deux merles chanteurs
posés sur le rebord du balcon
indifférents à la pluie
La limande salope
a trompé le cabot.
Le crabe dormeur les a surpris
Le thon obèse à gros oeil n'en revient pas!
Sono qui dormindo
nella mia nassa di maglia
nella seconda parte del cielo
La lluvia
El frio de la calle.
!Que lío!
Le vent,
le temps qui bat des ailes
l'oiseau qui vole
frémissement imperceptible .
le papillon bleu
bat des ailes
la fleur incensée
s'épanouit -
quelle insensée!
lune rubiconde
aux bajoues tombantes -
nuit profonde
mon bol de riz gluant -
les jours de l'année
mes pas d'âge las!
mon harem et moi -
mon petit point de vue
Quel émoi!
o aroma delicado
das amendoeiras em flor -
efémera, a beleza!
son coeur une prison
aux barreaux insoupçonnés
deux merles courtisans
posés sur le rebord du balcon
prenant la pluie
deux merles chanteurs
posés sur le rebord du balcon
indifférents à la pluie
La limande salope
a trompé le cabot.
Le crabe dormeur les a surpris
Le thon obèse à gros oeil n'en revient pas!
Sono qui dormindo
nella mia nassa di maglia
nella seconda parte del cielo
La lluvia
El frio de la calle.
!Que lío!
Le vent,
le temps qui bat des ailes
l'oiseau qui vole
frémissement imperceptible .
le papillon bleu
bat des ailes
la fleur incensée
s'épanouit -
quelle insensée!
lune rubiconde
aux bajoues tombantes -
nuit profonde
mon bol de riz gluant -
les jours de l'année
mes pas d'âge las!
mon harem et moi -
mon petit point de vue
Quel émoi!
o aroma delicado
das amendoeiras em flor -
efémera, a beleza!
samedi 10 mars 2007
L'autoroute de la vie
c'est ce circuit
J'ai bien peur que la peur
ne s'essuie.
Les oiseaux
étendent leurs ailes
au-dessus des étangs de la Somme.
J'écris mieux que je ne vis.
Je lis mieux que je ne séduis.
Ainsi va ma vie:
une fois, je m'enlise;
une fois, je m'exquise.
Je suis une aire ouverte
en travaux
une fille thermo express.
Je me fais tirer comme une biche
et je m'affiche
à Hattencourt.
Et quand je veux en finir avec la bohème
ou le poème
ou les je t'aime...
Je me suspend
au porte manteau
à côté de ma veste
de mon écharpe et
de mon chapeau.
c'est ce circuit
J'ai bien peur que la peur
ne s'essuie.
Les oiseaux
étendent leurs ailes
au-dessus des étangs de la Somme.
J'écris mieux que je ne vis.
Je lis mieux que je ne séduis.
Ainsi va ma vie:
une fois, je m'enlise;
une fois, je m'exquise.
Je suis une aire ouverte
en travaux
une fille thermo express.
Je me fais tirer comme une biche
et je m'affiche
à Hattencourt.
Et quand je veux en finir avec la bohème
ou le poème
ou les je t'aime...
Je me suspend
au porte manteau
à côté de ma veste
de mon écharpe et
de mon chapeau.
Paisible paysage -
petit bosquet
à l'orée du bois
cristalline symphonie
aux notes mélodieuses -
le torrent dans la brume
lumières distantes -
petites lucioles
à l'orée de l'autoroute
Si ton gris
était mon noir
on y verrait plus clair!
Brume épaisse
à couper au couteau -
rondelles de Chavignol sur toast!
petit bosquet
à l'orée du bois
cristalline symphonie
aux notes mélodieuses -
le torrent dans la brume
lumières distantes -
petites lucioles
à l'orée de l'autoroute
Si ton gris
était mon noir
on y verrait plus clair!
Brume épaisse
à couper au couteau -
rondelles de Chavignol sur toast!
Ce soir, j'arbore la robe vaporeuse
en taffetas rouge. Faux cils, rimel.
Boîte à pencils. Gospel.
Oh! My jewelry box.
Mon diamant qui brille de mille feux.
Mes jambes douces pour tes mains câlines,
Verre de Porto vintage.
Tapisseries bourgeoises.Tapis sombre.
Moi et mon ombre.
Et soudain, l'idée que l'on est enclosis, engourdis, englués...
Verre de Porto à la main.
Things box and Photo box.
Tournez la page.
en taffetas rouge. Faux cils, rimel.
Boîte à pencils. Gospel.
Oh! My jewelry box.
Mon diamant qui brille de mille feux.
Mes jambes douces pour tes mains câlines,
Verre de Porto vintage.
Tapisseries bourgeoises.Tapis sombre.
Moi et mon ombre.
Et soudain, l'idée que l'on est enclosis, engourdis, englués...
Verre de Porto à la main.
Things box and Photo box.
Tournez la page.
AU FIL DU NIL
Le Sudan à vapeur s'élance au milieu des eaux.
Le soir, aux escales, la lumière baigne d'or les felouques
glissant en silence, sur le Nil.
Leurs voiles blanches nous saluent
et frissonnent autour du bateau.
Le Nil est si beau, si fort
À Louxor.
Voyage au coeur du rêve.
Hérons, aigrettes et hirondelles.
Voyage au coeur du temps.
Un verre de karkadé à la main.
Le bateau s'élance avec grâce.
Le raïs fait retentir son signal.
Nostalgie du voyage d'autrefois.
Au fil du Nil.
Voyage hors du temps.
Les papyrus qui flottent comme des îles.
Les magnifiques oásis aux dattiers croulant dans l'eau.
La belle princesse semi nue
du roman de la momie de Théophile Gautier
entraperçue drappée de transparences.
La promesse des paysages à venir
Miroir des paysages d'alors.
Le Nil défile lentement
comme un chapelet de regrets lointains.
Le couchant, sur les rives du Nil.
Langueur de l'esprit au rythme des vieilles machineries
qui s'époumonnent dans les cales à ciel ouvert.
Majestueux sillage du Sudan sur ce Nil...
Le Sudan à vapeur s'élance au milieu des eaux.
Le soir, aux escales, la lumière baigne d'or les felouques
glissant en silence, sur le Nil.
Leurs voiles blanches nous saluent
et frissonnent autour du bateau.
Le Nil est si beau, si fort
À Louxor.
Voyage au coeur du rêve.
Hérons, aigrettes et hirondelles.
Voyage au coeur du temps.
Un verre de karkadé à la main.
Le bateau s'élance avec grâce.
Le raïs fait retentir son signal.
Nostalgie du voyage d'autrefois.
Au fil du Nil.
Voyage hors du temps.
Les papyrus qui flottent comme des îles.
Les magnifiques oásis aux dattiers croulant dans l'eau.
La belle princesse semi nue
du roman de la momie de Théophile Gautier
entraperçue drappée de transparences.
La promesse des paysages à venir
Miroir des paysages d'alors.
Le Nil défile lentement
comme un chapelet de regrets lointains.
Le couchant, sur les rives du Nil.
Langueur de l'esprit au rythme des vieilles machineries
qui s'époumonnent dans les cales à ciel ouvert.
Majestueux sillage du Sudan sur ce Nil...
jeudi 8 mars 2007
Un haiku selon la règle
ne doit pas être
plus long qu'une respiration.
Jour de brume -
les nymphes du ciel
auraient-elles le vague à l'âme?
(Kobayashi Issa)
Dans le champ de colza
les moineaux font mine
de contempler les fleurs
(Matsuo Bashô)
Au nectar d'orchidée
le papillon
parfume ses ailes
(Matsuo Bashô)
Papillon qui bat des ailes
je suis comme toi -
poussière d'être!
(Kobayashi Issa)
À l'entrée du jardin
fleurit le blanc
d'un camélia
(Ueshima Onitsura)
Enseveli
dans un rêve de fleurs -
je voudrais mourir à l'instant!
(Ochi Etsujin)
Puisqu'il le faut
entraînons-nous à mourir
à l'ombre des fleurs
(Kobayashi Issa)
Qui déteste ce monde
se doit d'aimer
les fleurs de chardon
(Masaoka Shiki)
Quelques haikus des grands maîtres japonais qui décrivent le printemps.
ne doit pas être
plus long qu'une respiration.
Jour de brume -
les nymphes du ciel
auraient-elles le vague à l'âme?
(Kobayashi Issa)
Dans le champ de colza
les moineaux font mine
de contempler les fleurs
(Matsuo Bashô)
Au nectar d'orchidée
le papillon
parfume ses ailes
(Matsuo Bashô)
Papillon qui bat des ailes
je suis comme toi -
poussière d'être!
(Kobayashi Issa)
À l'entrée du jardin
fleurit le blanc
d'un camélia
(Ueshima Onitsura)
Enseveli
dans un rêve de fleurs -
je voudrais mourir à l'instant!
(Ochi Etsujin)
Puisqu'il le faut
entraînons-nous à mourir
à l'ombre des fleurs
(Kobayashi Issa)
Qui déteste ce monde
se doit d'aimer
les fleurs de chardon
(Masaoka Shiki)
Quelques haikus des grands maîtres japonais qui décrivent le printemps.
mercredi 7 mars 2007
Murmures de l'eau.
Si ce n'est pas l'océan
C'est la mer.
Si ce n'est pas la mer
C'est un fleuve.
Si ce n'est pas un fleuve
C'est une rivière.
Si ce n'est pas une rivière
C'est un torrent.
Le chant d'une cascade.
Incessante musique.
Mon dragon.
La tempête -
les vagues tumultueuses
d'une colère océane
Si ce n'est pas l'océan
C'est la mer.
Si ce n'est pas la mer
C'est un fleuve.
Si ce n'est pas un fleuve
C'est une rivière.
Si ce n'est pas une rivière
C'est un torrent.
Le chant d'une cascade.
Incessante musique.
Mon dragon.
La tempête -
les vagues tumultueuses
d'une colère océane
Miss Blanche
sort sa machine à rêver -
au sol, des gouttes d'herbe.
Les pétards sont allumés.
La grande fête commence -
Défilé de clowns et de joyeux lurons.
Ma maison,
posée sur l'océan -
drap blanc contre le ciel
Quand Jimmy monte à Paris
On dort corps parallèle au mur
Audacious sleeping partner
pour coucheries occasionnelles
Je suis là, éternelle
tourbillonante à profusion.
Objet de toutes les convoitises
Rien que pour tes yeux et tes lèvres.
Mes fesses pulpeuses
Ma bouche gracieuse
Mes cuisses audacieuses
Nos deux corps à assortir
Ou désassortir à volonté
et avec rigueur-
une vraie discipline.
sort sa machine à rêver -
au sol, des gouttes d'herbe.
Les pétards sont allumés.
La grande fête commence -
Défilé de clowns et de joyeux lurons.
Ma maison,
posée sur l'océan -
drap blanc contre le ciel
Quand Jimmy monte à Paris
On dort corps parallèle au mur
Audacious sleeping partner
pour coucheries occasionnelles
Je suis là, éternelle
tourbillonante à profusion.
Objet de toutes les convoitises
Rien que pour tes yeux et tes lèvres.
Mes fesses pulpeuses
Ma bouche gracieuse
Mes cuisses audacieuses
Nos deux corps à assortir
Ou désassortir à volonté
et avec rigueur-
une vraie discipline.
jungle purple funny grey biscay blue petunia opium smoke ontario blue clementine blue gel begonia cognac noir caffé latte officina del tempo l'art d'être soi-même les macarons au caramel fleur de sel de Wittamer Troooooooooooop boooooooooooon! L'extrême droite ne passera pas, on prendra l'extrême gauche T'as pas le droit, tu prends le gauche Une crème globale Ce qui me ferait tripper ohhhhhh ouiiiiiiiii Les baumes titillation lèvres et tétons Des leggings roses ou mauves pour mes gambettes bien au chaud et des dessous satin de luxe... Et si les femmes font carrière qui fera à manger? Les vraies femmes belles et ridées? Ou les dancing queens? Et pour quel bonheur êtes-vous faite en faim de conte? Don't know??
So Be Cointreauversial. Etes-vous sexy, hot et presque célèbre? Alors le Cointreau Politan est votre cocktail dit la pub. Votre sensualité a-t-elle besoin de fraîcheur? Choisissez le Caïpicointreau. Etes-vous une femme du monde? Alors délectez-vous avec le pétillant CointreauBubbles. Ready for the party, Agnès? Publicitairement
Au réfectoire
Conversations prévisibles d'hommes
ABS GPS Agnès
So Be Cointreauversial. Etes-vous sexy, hot et presque célèbre? Alors le Cointreau Politan est votre cocktail dit la pub. Votre sensualité a-t-elle besoin de fraîcheur? Choisissez le Caïpicointreau. Etes-vous une femme du monde? Alors délectez-vous avec le pétillant CointreauBubbles. Ready for the party, Agnès? Publicitairement
Au réfectoire
Conversations prévisibles d'hommes
ABS GPS Agnès
dimanche 4 mars 2007
La planète rouge n'a . 2 mers . 2 lacs & . 2 végétation . 2 trace 2 vie . 2 créatures vertes 1probables...
1 planète q l'on habiterait donc bien volontiers avec plaisir! Quel émoi!
D'autres terres, d'autres mers où (p)oser le pied?!
Mixez donc vos territoires! Oubliez les colères passées 2 la Terre!
A2mirez les aurores à (pro)tons!
Profitez des vents solaires!
Mais achetez-vous quand m'aime 1 (para)sol garanti contre les (o)rages (magné)tiques!
1 planète q l'on habiterait donc bien volontiers avec plaisir! Quel émoi!
D'autres terres, d'autres mers où (p)oser le pied?!
Mixez donc vos territoires! Oubliez les colères passées 2 la Terre!
A2mirez les aurores à (pro)tons!
Profitez des vents solaires!
Mais achetez-vous quand m'aime 1 (para)sol garanti contre les (o)rages (magné)tiques!
I/ Veux-tu bien ne plus dormir,
ô jeune om,
rideaux tombés et portes closes?
II/ All I ask is a windy day
' cause I must down to the peaceful seas
again...
Puisque je dois errer pour te retrouver...
ô fils de l'onde,
cheveux au vent,
son of the lonely sea and the yellow sky!
III/ Murmúrios do (m)ar.
Bocejos das ondas.
(A)braços do vento.
IV/ Numa noite de lua nova...
V/ E neva, outra vez, no poema.
Puisque je n'ai que le ciel
Pour servir de toi(t)...
ô jeune om,
rideaux tombés et portes closes?
II/ All I ask is a windy day
' cause I must down to the peaceful seas
again...
Puisque je dois errer pour te retrouver...
ô fils de l'onde,
cheveux au vent,
son of the lonely sea and the yellow sky!
III/ Murmúrios do (m)ar.
Bocejos das ondas.
(A)braços do vento.
IV/ Numa noite de lua nova...
V/ E neva, outra vez, no poema.
Puisque je n'ai que le ciel
Pour servir de toi(t)...
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