Sur le chemin des marais,
Je croise des vieilles dames
En randonnée,
Qui répondent à mon salut.
Puis, je croise des jeunes filles,
Qui ne me saluent point.
Je me dis que la jeunesse
Est impolie.
Ensuite, je passe
À hauteur d'un vieux bonhomme,
Qui ne me salue pas non plus.
Tout compte fait force est de reconnaître
Que l'âme humaine est imperscrutable.
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