lundi 24 mai 2010

Ah!

vous avez mis sous le feu de l'ardeur,
alors que je dormais à demi nue,
cette chatte charmante, toute connue,
que d'autrui je cache à la vue,
moins de vous, à qui je permets
de la voir en liberté, sans retenue,


vous avez mis sous l'ardeur du feu
cette chatte charmante, sans pudeur
ni discrétion... ah! comme elle mouille
cette puce qui se pâme de votre foutre
somptueux, roide, libertin et pourfendeur
et, maintenant, je dois y mettre le doigt


sous votre regard lointain et vos murmures
et votre langue léchant mes plis toujours...
ah! comme je bande et me caresse
comme on égrène un chapelet

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